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Beecham – III – Schubert: Symphonie n°6 D.589 RPO

Schubert Symphony n°6 D.589

Sir Thomas Beecham – Royal Philharmonic Orchestra (RPO)

London Abbey Road Studio n°1 – 25 & 26 November, 15 December 1955

Source Bande/Tape Columbia BTA104: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks 7.5 ips STEREO

Sir Thomas Beecham a dirigé toutes les symphonies de Schubert, ce qui était rare à l’époque, et il les a aussi enregistrées pour le disque, à l’exception des n°4 et n°9. Il lui arrivait souvent d’enregistrer une œuvre lors de plusieurs séances qui pouvaient être espacées de plusieurs mois, et parfois une même œuvre pouvait être enregistrée dans deux lieux différents comme ça a été le cas en 1951 pour la Symphonie n°8 (Kingsway Hall et Studio n°1 Abbey Road) et en 1958 -59 pour les symphonies n°3 et 5 (Salle Wagram à Paris et Studio n°1 Abbey Road à Londres).

La bande stéréophonique (‘Stereosonic’) BTA104 a été publiée début mai 1956, en même temps que le microsillon mono, soit à peine quelques mois après les séances d’enregistrement.

Pour les symphonies, les dates des enregistrements par Beecham sont les suivantes:

n°1 D.82: RPO Walthamstow Town Hall 7 décembre 1953

n°2 D.125: RPO Walthamstow Town Hall 28 avril 1954

n°3 D.200: RPO Salle Wagram 12 mai 1958, Studio n°1 Abbey Road 22 mai 1958 et 2 mai 1959 ; RPO (en public) Royal Festival Hall 15 octobre 1958

n°5 D.485: LPO Kingsway Hall 15 décembre 1938 et 11 janvier 1939; RPO Salle Wagram 14 et 16 mai 1958, Studio n°1 Abbey Road 18 décembre 1958 et 7 mai 1959

n°6 D.589: LPO Studio n°1 Abbey Road 28 novembre et 18 décembre 1944; RPO Studio n°1 Abbey Road 25, 26 novembre et 15 décembre 1955.

n°8 D.759: LPO Studio n°1 Abbey Road 12 octobre et 1 novembre 1937; RPO Kingsway Hall 15 et 24 janvier, 11 et 23 juillet 1951, Studio n°1 Abbey Road 9 mai 1951

n°9 D.944: RPO (en public) Royal Festival Hall 14 décembre 1955

Sir Thomas Beecham conducted all of Schubert’s symphonies, which was rare at the time, and he also recorded them for the disc, with the exception of n°4 and 9. He often recorded a work in several sessions several months apart, and sometimes the same work was recorded in two different venues, as was the case in 1951 for Symphony n°8 (Kingsway Hall and Studio n°1 Abbey Road) and in 1958-59 for Symphonies Nos. 3 and 5 (Salle Wagram in Paris and Studio n°1 Abbey Road in London).

The BTA104 stereophonic (‘Stereosonic’) tape was released in early May 1956, at the same time as the mono LP, just a few months after the recording sessions.

For the symphonies, Beecham’s recording dates are as follows:

1 D.82: RPO Walthamstow Town Hall 7 December 1953

2 D.125: RPO Walthamstow Town Hall 28 April 1954

3 D.200: RPO Salle Wagram 12 May 1958, Studio n°1 Abbey Road 22 May 1958 and 2 May 1959; RPO (live) Royal Festival Hall 15 October 1958

n°5 D.485: LPO Kingsway Hall 15 December 1938 and 11 January 1939; RPO Salle Wagram 14 and 16 May 1958, Studio n°1 Abbey Road 18 December 1958 and 7 May 1959

n°6 D.589: LPO Studio n°1 Abbey Road 28 November and 18 December 1944; RPO Studio n°1 Abbey Road 25, 26 November and 15 December 1955.

8 D.759: LPO Studio n°1 Abbey Road 12 October and 1 November 1937; RPO Kingsway Hall 15 and 24 January, 11 and 23 July 1951, Studio n°1 Abbey Road 9 May 1951.

9 D.944: RPO (live) Royal Festival Hall 14 December 1955

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Haskil – Anda – Mozart: Concerto n°10 K.365 Philharmonia Orchestra Galliera

Mozart: Concerto n°10 K.365

Clara Haskil & Géza Anda – Philharmonia Orchestra Alceo Galliera

London Abbey Road Studio n°1 – 24-26 April 1956

Source Bande/Tape Columbia BTA109: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks 7.5 ips STEREO

Clara Haskil (1895-1960) a joué en duo avec Géza Anda à partir de 1954, mais ce n’est pas le premier pianiste avec lequel elle a formé un duo, ni celui avec lequel elle a joué le plus d’œuvres. En effet, en 1938-39, elle joué plusieurs fois avec Dinu Lipatti, et on trouve trace dans la presse suisse de concerts donnés à Vevey en 1944-45 avec Nikita Magaloff avec au programme, le 5 décembre 1944 sous la direction de Pierre Colombo, les deux Concertos qu’elle rejouera plus tard avec Anda (Bach: Concerto en ut majeur BWV1061 et Mozart: Concerto n°10 en mi bémol majeur K. 365), mais aussi, le 11 novembre 1945, la Sonate en ré majeur K.448 de Mozart, les Variations sur un thème de Haydn de Brahms, le Duettino Concertante de Busoni d’après Mozart, et enfin, après l’entracte et en ‘première audition’, la Sonate pour deux pianos et percussions de Bartók (sous la direction de Pierre Colombo avec Charles Peschier et Willy Blaser), dont le Finale a été bissé.

En 1958, Clara Haskil a commencé à s’entretenir avec Rita Wolfensberger, elle-même pianiste, en vue de la rédaction de ses mémoires. Le livre, écrit en allemand, est paru en 1961 (Alfred Scherz Verlag). Il est probablement le meilleur qui ait été écrit sur la pianiste, et il est dommage qu’il n’ait jamais été traduit. Il permet notamment de découvrir la véritable personnalité de Clara Haskil qui a été souvent présentée sous une forme stéréotypée par la presse musicale. Le récit de la rencontre avec Géza Anda est particulièrement révélateur:

‘En octobre 1953, Rolf Liebermann, alors directeur du département d’orchestre de la radio zurichoise, demanda à Clara Haskil de jouer la partie solo du Double Concerto de Mozart avec le jeune Hongrois Géza Anda (1921-1976), et c’est ainsi que se rencontrèrent deux pianistes de nature étrangement proche dans leur interprétation de Mozart. Le jeu de Clara était clair, perlé, celui d’Anda plus voilé, plus velouté; le rythme plus fluide, plus sinueux avec Haskil, celui d’Anda plus clairement accentué – mais le sens des nuances, l’amour de l’art raffiné, la capacité de créer de main de maître des ombres dans un cadre très étroit, tout cela était commun aux deux. Cette première collaboration a immédiatement entraîné d’autres engagements à deux, et un disque avec l’enregistrement de cette même œuvre et d’un Double Concerto de Bach sous la direction d’Alceo Galliera est sorti peu de temps après. Plusieurs Festivals se sont assurés la collaboration de ce magnifique duo; Keilberth, Karajan, Paumgartner et d’autres maîtres de la direction d’orchestre ont contribué à des performances artistiques de haut niveau.

Mais pour Clara, Géza Anda était bien plus qu’un fabuleux partenaire. Lui et son épouse pétillante devinrent des amis particulièrement précieux pour elle, et surtout pour leur nature extrêmement positive, optimiste et joyeuse. La jeunesse du tempérament de l’épouse de Géza était très précieuse pour Clara, tout comme elle se sentait toujours à l’aise et enjouée au contact des jeunes. Comme son dernier partenaire de violon Arthur Grumiaux (1921-1986), Anda avait plus de vingt-cinq ans de moins qu’elle. Lui et sa femme savaient parfaitement comment égayer leur amie plus âgée, mais restée jeune et naïve dans son cœur comme un enfant, et parfois aussi comment l’encourager et la pousser à toutes sortes d’imprévus. Si elle réagissait à tout moment aux plaisanteries avec un grand sens de l’humour, ce n’était pas seulement grâce à son heureuse capacité à entrer immédiatement dans n’importe quel jeu, mais aussi et surtout grâce au charme irrésistible avec lequel l’aimable et espiègle Anda pouvait proposer les idées les plus originales. Les deux artistes étaient très attachés l’un à l’autre, et le sourire qui planait sur leur relation d’amis et de collègues éclairait une profonde gravité humaine’.

Qu’il est dommage que le répertoire du duo Haskil-Anda soit resté limité à deux œuvres concertantes!

Clara Haskil (1895-1960) played together with Géza Anda from 1954, but he was not the first pianist with whom she formed a duo, nor the one with whom she played the most works. In fact, in 1938-39, she played several times with Dinu Lipatti, and the Swiss press records concerts given in Vevey in 1944-45 with Nikita Magaloff. On 5 December 1944, conducted by Pierre Colombo, the programme included the two Concertos she would later play with Anda (Bach: Concerto in C major BWV1061 and Mozart: Concerto No. 10 in E flat major K. 365), but also, on 11 November 1945, Mozart’s Sonata in D major K.448, Brahms’ Variations on a Theme by Haydn, Busoni’s Duettino Concertante after Mozart, and finally, after the interval and as a ‘first performance’, Bartók’s Sonata for Two Pianos and Percussion (conducted by Pierre Colombo with Charles Peschier and Willy Blaser), the Finale of which was encored.

In 1958, Clara Haskil started meeting Rita Wolfensberger, herself a pianist, with a view to writing her memoirs. The book, written in German, was published in 1961 (Alfred Scherz Verlag). It is probably the best ever written about the pianist, and it is a shame that it has never been translated. In particular, it reveals Clara Haskil’s true personality, which has often been presented in stereotyped form by the music press. The account of her meeting with Géza Anda is particularly relevant:

In October 1953, the then head of the orchestra department at Zurich Radio, Rolf Liebermann, asked Clara Haskil, together with the young Hungarian Géza Anda (1921-1976), to take on the solo part for a performance of Mozart’s Double Concerto, and thus two pianists met who were strangely close in their interpretation of Mozart. Each pianist’s playing was unmistakably characteristic: Clara’s touch was bright and sparkling, Anda’s more veiled and velvety; her rhythm more flowing and sinuous, Anda’s more clearly accentuated – but both shared a sense of nuance, a love of the fine art, the ability to shade masterfully within a very narrow framework. This first collaboration immediately led to further engagements as a duo, and a disc with a recording of this very work and of a Double Concerto by Bach under Alceo Galliera was released shortly afterwards. Festival venues secured the marvellous duo; Keilberth, Karajan, Paumgartner and other masters of conducting contributed to high level artistic performances.

For Clara, however, Géza Anda was more than just a marvellous partner. He and his cheerful wife became particularly precious friends to her, especially because of their extremely positive, optimistic and cheerful nature. The youthfulness of her temperament was a powerful attraction for Clara, just as she always felt at ease and exhilarated when socialising with young people. Like her last violin partner Arthur Grumiaux (1921-1986), Anda was more than twenty-five years her junior. He and his wife knew perfectky well how to cheer up their older friend, who remained as youthful and naïve at heart as a child, sometimes encouraging her and inspiring her to do all sorts of unexpected things. The fact that she always responded to jokes with a golden sense of humour was not only due to her fortunate ability to respond immediately to any play, but also primarily to the irresistible charm with which the lovable rogue Anda could come up with the most original ideas. Both artists were very close to each other, and the smiles that lay over their relationship as friends and colleagues masked a deep human seriousness’.

We can only regret that the duo’s repertoire remained limited to two Concertos!

Anda & Haskil Luzern

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Petri – Beethoven Sonate n° 23 Op. 57

Egon Petri, piano

Beethoven Sonate n°23 Op.57

New York – June 11, 1956

Source Bande/Tape Westminster Sonotape SWB 8010: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks /7.5 ips STEREO

Egon Petri (1881-1962) est né à Hanovre dans une famille néerlandaise. Il a été élevé à Dresde où son père, le violoniste Henri Petri, était le Konzertmeister de la célèbre ‘Sächsische Staatskapelle Dresden’. Il a commencé par étudier le violon, puis le piano, pour lequel l’influence principale a été celle du compositeur Ferruccio Busoni, un ami de son père, dont il est devenu un disciple.

Dans les années 1920, Egon Petri a enseigné à Berlin, puis en Pologne jusqu’en 1939, avant de partir pour les États-Unis en laissant derrière lui tous ses biens. Il a été naturalisé américain en 1955.

Il a commencé à faire des disques en 1929 et bien qu’au cours des années 1950, il ait sérieusement réduit son activité, il a laissé des enregistrements en studio et en concert jusqu’en 1960, et en 1959, il a même joué en public les 32 Sonates de Beethoven. La Sonate n°23 de Beethoven est un des enregistrements stéréo qu’il a faits pour la firme Westminster. Petri était connu notamment pour l’ampleur et la beauté du son de son piano, et il a été fort bien capté lors de ces séances.

Egon Petri (1881-1962) was born in Hanover into a Dutch family. He was raised in Dresden, where his father, the violinist Henri Petri, was Konzertmeister of the famous ‘Sächsische Staatskapelle Dresden’. He first studied the violin, then the piano, for which his main influence was the composer Ferruccio Busoni, a friend of his father, of whom he became a disciple.

In the 1920s, Egon Petri taught in Berlin, then in Poland until 1939, before moving to the USA, leaving all his possessions behind. He became a naturalized American citizen in 1955.

He began making records in 1929, and although in the 1950s he seriously curtailed his activity, he left studio and concert recordings until 1960, and in 1959, he even gave a complete public performance of Beethoven’s 32 Sonatas. Beethoven’s Sonata n°23 is one of the stereo recordings he made for the Westminster label. Petri was known in particular for the breadth and beauty of his piano sound, and it was well captured during these sessions.

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Reiner – II – Mozart: Symphonie n°41 K.551 CSO

Fritz Reiner Chicago Symphony Orchestra (CSO)

Mozart Symphonie n°41 K.551

Chicago Orchestra Hall – April 26, 1954

Source Bande/Tape DCS-10: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks /7.5 ips STEREO

En octobre 1953, RCA a commencé à effectuer des enregistrements stéréophoniques expérimentaux en utilisant un magnétophone stéréo référencé RT-11 développé à cet effet par RCA. Les enregistrements stéréo de ‘Heldenleben’ et ‘Also sprach Zarathustra’ de Richard Strauss, réalisés à Chicago respectivement le 6 et le 8 mars 1954, ayant été un coup de maître, RCA a, très rapidement, commencé à les utiliser pour lancer la publication de bandes magnétiques stéréophoniques pré-enregistrées (ECS-1 en septembre 1954 pour ‘Also sprach Zarathustra’ et FCS-2 en juin 1955 pour ‘Heldenleben’). Les autres enregistrements réalisés à cette époque n’ont pas tardé à suivre, dont, en avril 1956, sous la référence DCS-10, cette symphonie de Mozart enregistrée le 26 avril 1954. Le catalogue de juillet 1957 témoigne de l’intérêt suscité par cette nouvelle technique.

RCA Victor’s first two-track stereo recorders Model RT-11 (1954)

Tape-Recording – October 1956 Review Tape DCS-10

In October 1953, RCA began making experimental stereophonic recordings using a stereo tape recorder, RT-11, developed by RCA for this purpose. The stereo recordings of Richard Strauss’s ‘Heldenleben’ and ‘Also sprach Zarathustra’, made in Chicago respectively on March 6 and 8, 1954, were a masterstroke, and RCA very quickly began using them to launch the publication of pre-recorded stereophonic magnetic tapes (ECS-1 in Septembre 1954 for ‘Also sprach Zarathustra’ and FCS-2 in June 1955 for ‘Heldenleben’). The release of the other recordings made at this time soon followed including, in April 1956, under the reference DCS-10, this Mozart symphony recorded on April 26, 1954. The July 1957 catalog testifies to the interest aroused by this new technique.

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Munch – VIII – Berlioz: Harold en Italie Op.16 – de Pasquale BSO

Berlioz Harold en Italie Op.16

Charles Munch – Boston Symphony Orchestra (BSO)

Joseph de Pasquale, alto/viola

Boston Symphony Hall – November 11, 1961

Source Bande/Tape: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks 7.5 ips STEREO

Harold en Italie est une des œuvres que le BSO a le plus fréquemment jouées. Depuis la première exécution le 15 février 1884 sous la direction de George Henschel, elle a été donnée sous la direction de Wilhelm Gericke, d’Arthur Nikisch, de Karl Muck, de Pierre Monteux, de Serge Koussevitzky, et d’Ernest Ansermet, avant que Charles Munch la dirige pour la première fois le 1er avril 1954 (avec Joseph de Pasquale). Munch l’a dirigée 18 fois entre cette date et le 17 août 1962.

De Pasquale, alto solo de l’orchestre entre 1947 et 1964, a joué l’œuvre avec le BSO pas moins de 21 fois entre le 28 novembre 1947 et le 17 août 1962 avec Koussevitzky et Munch, en alternance avec William Primrose (8 fois entre 1952 et 1958 sous la baguette d’ Ansermet et de Munch).

Munch en a fait un enregistrement pour le disque en 1958 avec William Primrose, qui avait déjà enregistré cette œuvre en 1944 à Boston sous la direction de Koussevitzky, prestation envers laquelle Arturo Toscanini s’était montré fort critique. Pour sa part, de Pasquale l’a enregistrée en 1965 à Philadelphie sous la direction d’Ormandy.

Né à Philadelphie en 1919, Joseph de Pasquale a été l’élève de Louis Bailly, Max Aronoff et William Primrose au Curtis Institute of Music. Il a été l’alto solo du BSO de 1947 à 1964 puis à la demande d’Eugene Ormandy, du Philadelphia Orchestra de 1964 à 1995. Il a également enseigné au Curtis Institute of Music jusqu’à son décès survenu en 2015. Dans une interview de 2011 il a dit que les chefs qui l’ont le plus inspiré ont été Stokowski, Ormandy et Muti, trois chefs liés au Philadelphia Orchestra. A l’âge de quinze ans, il a fondé avec ses frères William (violon), Robert (violon) et Francis (violoncelle) le ‘de Pasquale String Quartet’. Par la suite, Francis est devenu en 1943 membre du Philadelphia Orchestra, et ses frères le sont ensuite devenus, à savoir William en 1962, puis Robert et Joseph en 1964. Le quatuor a existé jusqu’au décès de Francis survenu en 1972.

Joseph de Pasquale

Harold in Italy is one of the most frequently performed works by the BSO. Since the first performance on 15 February 1884 under George Henschel, it has been given under Wilhelm Gericke, Arthur Nikisch, Karl Muck, Pierre Monteux, Serge Koussevitzky, and Ernest Ansermet, before Charles Munch conducted it for the first time on 1 April 1954 (with Joseph de Pasquale). Munch conducted it 18 times between that date and 17 August 1962.

De Pasquale, principal viola of the orchestra between 1947 and 1964, played the work with the BSO no fewer than 21 times between 28 November 1947 and 17 August 1962 with Koussevitzky and Munch, alternating with William Primrose (8 times between 1952 and 1958 under Ansermet and Munch).

Munch made a recording of it in 1958 with William Primrose, who had already recorded the work in 1944 in Boston under Koussevitzky, a performance of which Arturo Toscanini was highly critical. De Pasquale recorded it in Philadelphia in 1965 under Ormandy.

Born in Philadelphia in 1919, Joseph de Pasquale studied with Louis Bailly, Max Aronoff and William Primrose at the Curtis Institute of Music. He was principal viola of the BSO from 1947 to 1964 and then, at the request of Eugene Ormandy, of the Philadelphia Otchestra from 1964 to 1995. He also taught at the Curtis Institute of Music until his death in 2015. In a 2011 interview he said that the conductors who inspired him most were Stokowski, Ormandy and Muti, three conductors associated with the Philadelphia Orchestra. At the age of fifteen he founded the ‘de Pasquale String Quartet’ with his brothers William (violin), Robert (violin) and Francis (cello). Francis subsequently became a member of the Philadelphia Orchestra in 1943, followed by his brothers, William in 1962 and later Robert and Joseph in 1964. The quartet existed until Francis died in 1972.

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