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Petri – Beethoven Sonate n° 23 Op. 57
Egon Petri, piano
Beethoven Sonate n°23 Op.57
New York – June 11, 1956
Source Bande/Tape Westminster Sonotape SWB 8010: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks /7.5 ips STEREO
Egon Petri (1881-1962) est né à Hanovre dans une famille néerlandaise. Il a été élevé à Dresde où son père, le violoniste Henri Petri, était le Konzertmeister de la célèbre ‘Sächsische Staatskapelle Dresden’. Il a commencé par étudier le violon, puis le piano, pour lequel l’influence principale a été celle du compositeur Ferruccio Busoni, un ami de son père, dont il est devenu un disciple.
Dans les années 1920, Egon Petri a enseigné à Berlin, puis en Pologne jusqu’en 1939, avant de partir pour les États-Unis en laissant derrière lui tous ses biens. Il a été naturalisé américain en 1955.
Il a commencé à faire des disques en 1929 et bien qu’au cours des années 1950, il ait sérieusement réduit son activité, il a laissé des enregistrements en studio et en concert jusqu’en 1960, et en 1959, il a même joué en public les 32 Sonates de Beethoven. La Sonate n°23 de Beethoven est un des enregistrements stéréo qu’il a faits pour la firme Westminster. Petri était connu notamment pour l’ampleur et la beauté du son de son piano, et il a été fort bien capté lors de ces séances.
Egon Petri (1881-1962) was born in Hanover into a Dutch family. He was raised in Dresden, where his father, the violinist Henri Petri, was Konzertmeister of the famous ‘Sächsische Staatskapelle Dresden’. He first studied the violin, then the piano, for which his main influence was the composer Ferruccio Busoni, a friend of his father, of whom he became a disciple.
In the 1920s, Egon Petri taught in Berlin, then in Poland until 1939, before moving to the USA, leaving all his possessions behind. He became a naturalized American citizen in 1955.
He began making records in 1929, and although in the 1950s he seriously curtailed his activity, he left studio and concert recordings until 1960, and in 1959, he even gave a complete public performance of Beethoven’s 32 Sonatas. Beethoven’s Sonata n°23 is one of the stereo recordings he made for the Westminster label. Petri was known in particular for the breadth and beauty of his piano sound, and it was well captured during these sessions.
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Fritz Reiner Chicago Symphony Orchestra (CSO)
Mozart Symphonie n°41 K.551
Chicago Orchestra Hall – April 26, 1954
Source Bande/Tape DCS-10: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks /7.5 ips STEREO
En octobre 1953, RCA a commencé à effectuer des enregistrements stéréophoniques expérimentaux en utilisant un magnétophone stéréo référencé RT-11 développé à cet effet par RCA. Les enregistrements stéréo de ‘Heldenleben’ et ‘Also sprach Zarathustra’ de Richard Strauss, réalisés à Chicago respectivement le 6 et le 8 mars 1954, ayant été un coup de maître, RCA a, très rapidement, commencé à les utiliser pour lancer la publication de bandes magnétiques stéréophoniques pré-enregistrées (ECS-1 en septembre 1954 pour ‘Also sprach Zarathustra’ et FCS-2 en juin 1955 pour ‘Heldenleben’). Les autres enregistrements réalisés à cette époque n’ont pas tardé à suivre, dont, en avril 1956, sous la référence DCS-10, cette symphonie de Mozart enregistrée le 26 avril 1954. Le catalogue de juillet 1957 témoigne de l’intérêt suscité par cette nouvelle technique.
RCA Victor’s first two-track stereo recorders Model RT-11 (1954)
Tape-Recording – October 1956 Review Tape DCS-10
In October 1953, RCA began making experimental stereophonic recordings using a stereo tape recorder, RT-11, developed by RCA for this purpose. The stereo recordings of Richard Strauss’s ‘Heldenleben’ and ‘Also sprach Zarathustra’, made in Chicago respectively on March 6 and 8, 1954, were a masterstroke, and RCA very quickly began using them to launch the publication of pre-recorded stereophonic magnetic tapes (ECS-1 in Septembre 1954 for ‘Also sprach Zarathustra’ and FCS-2 in June 1955 for ‘Heldenleben’). The release of the other recordings made at this time soon followed including, in April 1956, under the reference DCS-10, this Mozart symphony recorded on April 26, 1954. The July 1957 catalog testifies to the interest aroused by this new technique.
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Berlioz Harold en Italie Op.16
Charles Munch – Boston Symphony Orchestra (BSO)
Joseph de Pasquale, alto/viola
Boston Symphony Hall – November 11, 1961
Source Bande/Tape: 2 pistes/19 cm/s / 2 tracks 7.5 ips STEREO
Harold en Italie est une des œuvres que le BSO a le plus fréquemment jouées. Depuis la première exécution le 15 février 1884 sous la direction de George Henschel, elle a été donnée sous la direction de Wilhelm Gericke, d’Arthur Nikisch, de Karl Muck, de Pierre Monteux, de Serge Koussevitzky, et d’Ernest Ansermet, avant que Charles Munch la dirige pour la première fois le 1er avril 1954 (avec Joseph de Pasquale). Munch l’a dirigée 18 fois entre cette date et le 17 août 1962.
De Pasquale, alto solo de l’orchestre entre 1947 et 1964, a joué l’œuvre avec le BSO pas moins de 21 fois entre le 28 novembre 1947 et le 17 août 1962 avec Koussevitzky et Munch, en alternance avec William Primrose (8 fois entre 1952 et 1958 sous la baguette d’ Ansermet et de Munch).
Munch en a fait un enregistrement pour le disque en 1958 avec William Primrose, qui avait déjà enregistré cette œuvre en 1944 à Boston sous la direction de Koussevitzky, prestation envers laquelle Arturo Toscanini s’était montré fort critique. Pour sa part, de Pasquale l’a enregistrée en 1965 à Philadelphie sous la direction d’Ormandy.
Né à Philadelphie en 1919, Joseph de Pasquale a été l’élève de Louis Bailly, Max Aronoff et William Primrose au Curtis Institute of Music. Il a été l’alto solo du BSO de 1947 à 1964 puis à la demande d’Eugene Ormandy, du Philadelphia Orchestra de 1964 à 1995. Il a également enseigné au Curtis Institute of Music jusqu’à son décès survenu en 2015. Dans une interview de 2011 il a dit que les chefs qui l’ont le plus inspiré ont été Stokowski, Ormandy et Muti, trois chefs liés au Philadelphia Orchestra. A l’âge de quinze ans, il a fondé avec ses frères William (violon), Robert (violon) et Francis (violoncelle) le ‘de Pasquale String Quartet’. Par la suite, Francis est devenu en 1943 membre du Philadelphia Orchestra, et ses frères le sont ensuite devenus, à savoir William en 1962, puis Robert et Joseph en 1964. Le quatuor a existé jusqu’au décès de Francis survenu en 1972.
Joseph de Pasquale
Harold in Italy is one of the most frequently performed works by the BSO. Since the first performance on 15 February 1884 under George Henschel, it has been given under Wilhelm Gericke, Arthur Nikisch, Karl Muck, Pierre Monteux, Serge Koussevitzky, and Ernest Ansermet, before Charles Munch conducted it for the first time on 1 April 1954 (with Joseph de Pasquale). Munch conducted it 18 times between that date and 17 August 1962.
De Pasquale, principal viola of the orchestra between 1947 and 1964, played the work with the BSO no fewer than 21 times between 28 November 1947 and 17 August 1962 with Koussevitzky and Munch, alternating with William Primrose (8 times between 1952 and 1958 under Ansermet and Munch).
Munch made a recording of it in 1958 with William Primrose, who had already recorded the work in 1944 in Boston under Koussevitzky, a performance of which Arturo Toscanini was highly critical. De Pasquale recorded it in Philadelphia in 1965 under Ormandy.
Born in Philadelphia in 1919, Joseph de Pasquale studied with Louis Bailly, Max Aronoff and William Primrose at the Curtis Institute of Music. He was principal viola of the BSO from 1947 to 1964 and then, at the request of Eugene Ormandy, of the Philadelphia Otchestra from 1964 to 1995. He also taught at the Curtis Institute of Music until his death in 2015. In a 2011 interview he said that the conductors who inspired him most were Stokowski, Ormandy and Muti, three conductors associated with the Philadelphia Orchestra. At the age of fifteen he founded the ‘de Pasquale String Quartet’ with his brothers William (violin), Robert (violin) and Francis (cello). Francis subsequently became a member of the Philadelphia Orchestra in 1943, followed by his brothers, William in 1962 and later Robert and Joseph in 1964. The quartet existed until Francis died in 1972.
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Meilleurs Vœux pour 2024 / Best Wishes for 2024
Charles Munch – Boston Symphony Orchestra (BSO)
Fauré: Ballade Op.19 – Ravel: Concerto en sol
Nicole Henriot-Schweitzer, Baldwin Piano
Cor Anglais/English Horn: Louis Speyer (Ravel)
Boston Symphony Hall – April 2, 1960
Ravel Tzigane Joseph Silverstein, violin
Boston Symphony Hall – October 17, 1959
Ravel Rapsodie Espagnole
Boston Symphony Hall – February 19, 1965
Source Bande/Tape: 2 pistes/19cm/s / 2 tracks 7.5 ips STEREO
Parmi les enregistrements de ce programme, seule la Ballade de Fauré a fait l’objet d’une publication. Munch n’a pas fait d’enregistrement commercial de cette œuvre, et celui-ci, très réussi, est le seul recensé sous sa direction avec un concert en 1965 avec l’Orchestre de Leningrad, n’en est que plus précieux.
L’exécution du Concerto en sol de Ravel, joué le même jour que la Ballade de Fauré, est particulièrement dynamique, et l’impétuosité de Munch conduit à un épisode humoristique inattendu à la fin du premier mouvement.
Nicole Henriot-Schweitzer (1923-2001) a donné de nombreux concerts sous la direction de Munch. Pour s’en tenir au BSO, on relève le Concerto n°2 de Brahms (1951), la Ballade de Fauré (1952, 1960), les Variations Symphoniques de Franck (1965), la Symphonie sur un Chant Montagnard de d’Indy (1958), le Concerto n°1 de Liszt (1951), la Suite Concertante de Milhaud (1953), le Concerto n°17 K.453 de Mozart (1959), le Concerto n°2 de Prokofiev (1957, 1962), le Concerto en sol de Ravel (1950, 1951, 1952, 1958, 1960, 1964 et 1965), le Concerto n°3 de Saint-Saëns (1953) et le Concerto de Schumann (1952). Munch et Henriot-Schweitzer ont enregistré trois fois le Concerto de Ravel (OSCC 1949, BSO 1958 et Orchestre de Paris 1968).
On peut lire dans une note biographique sur Charles Munch qu’il aurait été le neveu d’Albert Schweitzer. Il n’en est rien. La sœur de Charles Munch, Emma Munch, a épousé le frère d’Albert Schweitzer. En 1958, leur fils, l’amiral Jean-Jacques Schweitzer (1920-1993), qui était donc le neveu à la fois d’Albert Schweitzer et de Charles Munch, a épousé la pianiste Nicole Henriot (1923-2001).
On connaît un enregistrement public de Tzigane de Ravel par Charles Munch et Ginette Neveu avec le NYPO le 2 janvier 1949. Ici, avec Joseph Silverstein, le public a pu apprécier celui qui allait succéder sous peu à Richard Burgin comme Concertmaster de l’orchestre.
Munch a fait quatre enregistrements commerciaux de la Rapsodie Espagnole (OSCC 1941 inédit, BSO 1950 et 1956, et Orchestre de Paris 1968). Il existe également un enregistrement public (BSO 1955) publié par WHRA. Cet extrait de concert de 1965 fait donc le ‘pont’ entre les prestations de 1956 et de 1968.
Louis Speyer, né à Paris en 1890, a étudié au Conservatoire et, en 1911, il est devenu oboïste de l’Orchestre des Concerts Colonne qui accompagnait notamment les représentations des Ballets Russes et a donc participé à des Premières d’œuvres de Ravel et de Stravinski. Il a ensuite fait partie de l’Orchestre du Théâtre ds Champs-Élysées qui a joué sous la direction de Pierre Monteux lors de la Première du Sacre du Printemps en 1913. Il s’est ensuite rendu aux États-Unis en 1918. C’est Henri Rabaud qui l’a recruté au BSO comme cor anglais solo à partir de 1919, poste qu’il a conservé jusqu’à sa retraite en 1964. Il est devenu citoyen américain en 1923. Il est décédé à Boston en 1980.
Joseph Silverstein est né à Detroit en 1932. Au Curtis Institute of Music de Philadelphie, il a étudié avec notamment Efrem Zimbalist, William Primrose, Josef Gingold et Mischa Michakoff. Il a ensuite joué dans les orchestres de Denver, Houston et Philadelphie. En 1955, il a intégré les seconds violons du BSO. En 1959, il a obtenu à Bruxelles la médaille d‘argent du concours Reine Elisabeth de Belgique. A partir de 1962, il est devenu ‘Concertmaster’ du BSO, poste qu’il a quitté en 1984 pour démarrer une carrière de chef d’orchestre. Il a été le Directeur Musical de l ‘Utah Symphony’ de 1984 à 1998 et ensuite du Florida Philharmonic Orchestra jusqu’en 2003. Il a également enseigné le violon à Boston et au Curtis Institute of Music. Il est décédé en 2015.
Monteux Henriot-Schweitzer Munch Tanglewood 1959
Louis Speyer
Joseph Silverstein
Of the recordings on this program, only Fauré’s Ballade has been published. Munch made no commercial recordings of this work, and this one, the only one recorded under his direction together with a 1965 concert with the Leningrad Philharmonic, is all the more valuable for that.
The performance of Ravel’s Concerto in G, played on the same day as Fauré’s Ballade, is particularly dynamic, and Munch’s impetuosity leads to an unexpected humorous episode at the end of the first movement.
Nicole Henriot-Schweitzer (1923-2001) gave many concerts under Munch’s direction. Among her BSO performances with him are Brahms’ Concerto no. 2 (1951), Fauré’s Ballade (1952, 1960), Franck’s Variations Symphoniques (1965), d’Indy’s Symphonie sur un Chant Montagnard (1958), Liszt’s Concerto no. 1 (1951), Milhaud’s Suite Concertante (1953), Mozart’s Concerto no. 17 K.453 (1959), Prokofiev Concerto No. 2 (1957, 1962), Ravel Concerto in G (1950, 1951, 1952, 1958, 1960, 1964 and 1965), Saint-Saëns Concerto No. 3 (1953) and Schumann Concerto (1952). Munch and Henriot-Schweitzer have made three recordings of Ravel’s Concerto (OSCC 1949, BSO 1958 and Orchestre de Paris 1968).
A biographical note on Charles Munch claims that he was Albert Schweitzer’s nephew. This is not true. Charles Munch’s sister Emma Munch married Albert Schweitzer’s brother. In 1958, their son, Admiral Jean-Jacques Schweitzer (1920-1993), who was therefore the nephew of both Albert Schweitzer and Charles Munch, married pianist Nicole Henriot (1923-2001).
There is a live recording of Ravel’s Tzigane by Charles Munch and Ginette Neveu with the NYPO on January 2, 1949. Here, with Joseph Silverstein, the public was able to appreciate the man who would shortly succeed Richard Burgin as the orchestra’s Concertmaster.
Munch made four commercial recordings of the Rapsodie Espagnole (OSCC 1941 unreleased – BSO 1950 and 1956, and Orchestre de Paris 1968). There is also a public recording (BSO 1955) published by WHRA. This 1965 concert excerpt bridges the gap between the 1956 and 1968 performances.
Louis Speyer, born in Paris in 1890, studied at the Paris Conservatoire and, in 1911, became an oboist with the Orchestre des Concerts Colonne, which, among others, accompanied performances of the Ballets Russes, and thus he took part in Premières of works by Ravel and Stravinsky. He then joined the Orchestre du Théâtre des Champs-Élysées, which performed under Pierre Monteux at the 1913 Première of The Rite of Spring. He then went to the United States in 1918. It was Henri Rabaud who recruited him to the BSO as principal English horn from 1919, a position he held until his retirement in 1964. He became an American citizen in 1923. He died in Boston in 1980.
Joseph Silverstein was born in Detroit in 1932. At the Curtis Institute of Music in Philadelphia, he studied among others with Efrem Zimbalist, William Primrose, Josef Gingold and Mischa Michakoff. He went on to play in the Denver, Houston and Philadelphia orchestras. In 1955, he joined the second violins of the BSO. In 1959, he won the silver medal at the Queen Elisabeth Competition in Brussels. In 1962, he became the Concertmaster of the BSO, a position he left in 1984 to embark on a career as a conductor. He was Music Director of the Utah Symphony from 1984 to 1998 and then of the Florida Philharmonic Orchestra until 2003. He also taught violin in Boston and at the Curtis Instutute of Music. He passed away in 2015.
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Tchaïkovsky Roméo & Juliet NBC SO
Carnegie Hall – February 2, 1952
Respighi I Pini di Roma NYPO
Carnegie Hall – March 27, 1955
Source: Bande/Tape – 2 pistes 19cm/s / 2tracks 7.5 ips
Ces deux œuvres orchestrales brillantes mettent en avant le dynamisme, le sens de la construction dramatique ainsi que la finesse expressive de Guido Cantelli dans une veine interprétative dans la lignée de Toscanini, sans la banalité que l‘on perçoit avec les interprètes qui recherchent le spectaculaire. Cantelli évite également la dureté de Toscanini dans son enregistrement de 1946 de l’œuvre de Tchaïkovski.
Cantelli avait déjà joué l’œuvre de Tchaïkovski avec le NBC SO lors de son deuxième concert avec cet orchestre (22 janvier 1949).
Pour l’œuvre de Respighi, que Cantelli donne pour la première et la dernière fois avec le NYPO lors de cette série de concerts (24, 25 & 27 mars 1955), l’orchestre a fait appel à des musiciens supplémentaires, dont le pianiste Leonid Hambro et l’organiste Claire Coci.
Le concert du 27 mars 1955 était le dernier de Cantelli avant la tournée transcontinentale de 31 concerts du NYPO du 18 Avril au 22 Mai qu’il a co-dirigée avec Dimitri Mitropoulos. Cantelli n’a pas redonné cette œuvre très populaire de Respighi, alors que le répertoire choisi par lui était très restreint: lors des 14 concerts qu’il a dirigés lors de cette tournée, il a joué 10 fois la Première de Brahms, 7 fois les Tableaux d’une Exposition de Moussorgski, et 6 fois la Suite n°2 de Daphnis & Chloé de Ravel, ce que dit-on, l’orchestre n’a pas apprécié sur une période aussi courte.
Guido Cantelli Darius Milhaud Dimitri Mitropoulos Gastone Usigli George Judd Jr NYPO Tour San Francisco May 1955
Guido Cantelli, Bruno Zirato & Dimitri Mitropoulos NYPO Tour 1955
These two brilliant orchestral works showcase Guido Cantelli’s dynamism, sense of dramatic construction and expressive finesse in an interpretative vein in the tradition of Toscanini, without the banality one perceives with performers who seek the spectacular. Cantelli also avoids Toscanini’s tautness in his 1946 recording of Tchaikovsky’s work.
Cantelli had already performed Tchaikovsky’s work with the NBC SO in his second concert with this orchestra (January 22, 1949).
For Respighi’s work, which Cantelli performs for the first and last time with the NYPO during this series of concerts (March 24, 25 & 27 1955), the orchestra called on additional musicians, including pianist Leonid Hambro and organist Claire Coci.
The March 27, 1955 concert was Cantelli’s last before the 31-concert transcontinental tour of the NYPO, which he co-conducted with Dimitri Mitropoulos from April 18 to May 22. Cantelli did not play again this very popular work by Respighi, even though the repertoire he had chosen was very limited: in the 14 concerts he conducted on this tour, he conducted Brahms’ First 10 times, Moussorgsky’s Pictures at an Exhibition 7 times, and Ravel’s Suite n°2 from Daphnis & Chloé 6 times, which, as was said, the orchestra did not appreciate in such a short space of time.
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